Si notre voisin Canada nous déteste et Trump, qu'est-ce que cela dit pour le reste du monde?

Écouter le nouveau Premier ministre du Canada Mark Carney discours d'acceptation m'a rappelé certaines des tirades du président russe Vladimir Poutine contre l'Amérique d'antan. C'est parce que, horriblement, la Russie est désormais plus un allié que notre voisin du Canada.

Laissez cela s'enfoncer un instant.

« Je sais que ce sont des jours sombres, des jours sombres provoqués par un pays en qui nous ne pouvons plus faire confiance. » C'était peut-être le plus citation remarquable du discours de Carney. Et il a éloigné le Canada encore plus loin en étouffant les commentaires antérieurs ridicules de Donald Trump sur la création du Canada le 51e État américain, «l'Amérique n'est pas le Canada (et) ne fera jamais, jamais de l'Amérique de quelque manière que ce soit, ou forme ou forme».

J'ai parlé à des amis sur différents continents, et je reçois le même message de chacun d'eux, en gros, en un mot disant: « F ** k les États-Unis »Trump est détesté dans le monde entieret mes compatriotes américains, nous aussi. Et c'est parce quePlus de 70 millions de personnes étaient assez stupides Voter pour cette secousse absolue, qui en moins de 100 jours a retiré les États-Unis de nos alliés, amis et voisins.

C'est un cas d'oiseaux d'une plume qui afflue. Lorsque vous êtes les meilleurs copains avec Vladimir Poutine et échangez des lettres d'amour avec Kim Jong Un, vous télégraphez au monde que vous êtes aussi un mauvais oiseau.

Dans les annales du leadership mondial, peu de chiffres ont réussi à aliéner les alliés, à enhardir les adversaires et à saper les normes internationales aussi rapidement et imprudemment que Trump. Autrefois une nation qui défend la démocratie et la collaboration, les États-Unis se retrouvent désormais isolés et méprisés, en grande partie en raison des actions de son propre chef.

Le discours de Carney a parlé pour le reste du monde, qui a atteint leur point de rupture avec Trump et les États-Unis après son traitement et son traitement dédaigneux de l'Ukraine.

La semaine dernière, Trump a pris la décision périlleuse – et ignorante – de suspendre toute l'aide militaire à l'Ukraine, une nation défendant vaillamment sa souveraineté contre l'agression russe. Cette cessation brutale du soutien compromet non seulement les capacités de défense de l'Ukraine, mais signale également un changement inquiétant dans la politique étrangère des États-Unis.

En faisant pression sur le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy pour négocier avec le président russe Poutine, Trump estse rangeant avec un régime autoritaire sur un allié démocratique. Cette décision a été confrontée à une condamnation généralisée, avec les critiques qui se disputent Ce que Trump s'est « rendu efficacement à Poutine avant que les négociations aient même commencé ».

Nos alliés de l'OTAN ont des réunions d'urgence tenueset ils sont tHréation pour retenir les informations de renseignement des États-Unis. Tout comme le Canada, le monde est raide aux États-Unis et découvre comment avancer sans nous.

Dans une démonstration de belligérance économique et de va-et-vient déroutante,Trump a imposé des tarifs radicaux de 25% sur les importations du Canada et du Mexique, et 10% sur les produits chinois. Et puis il les a mis en attente, puis il les a annulés, et les a de nouveau annoncés.

Je ne sais pas si c'est juste ou non, car qui peut suivre sa folie et son changement d'esprit sur les tarifs? Eh bien, nos alliés continuent et ils sont énervés! Lorsque vous traitez vos amis comme ça, jouant avec eux sur de graves questions économiques, qui va jamais vous faire à nouveau confiance?

Ces mesures ont provoqué des représailles rapides. La semaine dernière, le Premier ministre canadien sortant Justin Trudeau a condamné les tarifs comme « totalement inacceptable ». Il les a aussi appelés «une chose très stupide à faire.  » Chine l'a appelé une «guerre. »

Et le gouvernement mexicain a promis de mettre en œuvre son propre ensemble de contre-tarifs, ce qui augmente davantage les tensions. Ces politiques protectionnistes contractent non seulement les relations diplomatiques, mais menacent également la stabilité économique mondiale, ravivant les craintes de l'inflation et de la volatilité du marché.

Souhaitez-vous jamais croire que le président chinois Xi Jinping, Trudeau et le président mexicain Claudia Sheinbaum conviendraient tous que les États-Unis sont nuls?

Le mantra « America First » de Trump s'est également traduit par une série deretrait des accords internationaux critiques. En prévoyant de se retirer de l'Organisation mondiale de la santé, les États-Unis ont abdiqué son rôle de leadership dans la santé mondiale, sapant les réponses coordonnées aux pandémies et à d'autres crises de santé.

Il a également retiré les États-Unis du Traité du climat des Nations Unies – encore. Il signale son total et un mépris total pour l'effort collectif du monde, par près de 200 nations consciencieuses, à l'exception de l'Iran, de la Corée du Nord, du Yémen et des États-Unis.

Wow, nous gardons vraiment une bonne compagnie! Qui aurait cru il y a seulement six mois que l'Iran, la Corée du Nord et les États-Unis seraient tous du même côté?

Les répercussions des actions de Trump sont palpables à la fois au pays et à l'étranger. «La bannière étoilée», autrefois un symbole de l'unité, est maintenant rencontré des huées. Un de mes amis était récemment au Canada, est allé à un match de hockey et se sentait gênant d'être un Américain lorsque les huées ont commencé. « Ce n'était pas seulement des gens qui coulent », a-t-il déclaré. «Ils criaient des explétifs aux États-Unis, je n'arrêtais pas de penser:« F-Trump pour m'avoir fait sentir si honteux. »

Quelque chose comme cela reflète des divisions domestiques profondément ancrées et l'insatisfaction à l'égard de l'administration actuelle.La réputation de l'Amérique a chuté, avec des alliés traditionnels se distancier et les adversaires enhardis par les politiques erratiques des États-Unis.

Pour ne pas être en reste, Trump a été rejoint dans son attaque de Zelenskyy par son jumeau maléfique, JD Vance. Avant qu'il ne soit élu vice-président, j'ai écrit de nombreuses colonnes à propos de la Vance déplorable. Mais maintenant, le monde sait ce que nous avons tous vu tandis que toute sa bizarrerie et sa vileness ont été exposées pendant la campagne.

La semaine dernière, Vance a attiré une colère internationale importante avec son commentaires Rejetant la valeur du soutien militaire européen en Ukraine, ce qui suggère qu'une « meilleure garantie de sécurité » pourrait être réalisée sans s'appuyer sur des pays qui « n'ont pas combattu une guerre depuis 30 ou 40 ans ».

Ils ont été interprétés comme redonnant le Royaume-Uni et la France, qui se sont tous deux engagés à contribuer aux troupes à une force de maintien de la paix européenne potentielle en Ukraine. Des politiciens britanniques, dont le Premier ministre Keir Starmer, a exprimé son indicatifmettant en évidence les sacrifices des soldats britanniques dans des conflits récents. Au cours d'une session parlementaire, Starmer a rendu hommage aux 642 Britanniques qui ont perdu la vie en Irak et en Afghanistan, soulignant l'engagement militaire actif du pays au cours des dernières décennies.

Officiels français a fait écho à ce sentimentsoulignant que les soldats français et britanniques qui ont combattu et sont parfois morts aux côtés des forces américaines méritent le respect.

En réponse à la critique, Vance a nié Que ses remarques étaient destinées au Royaume-Uni ou à la France, mais qui va croire que Vance, qui, à plusieurs reprises, comme son patron, ment entre ses dents? Les dégâts ont déjà été causés. Cet incident a tendu les relations diplomatiques, les médias britanniques et français critiquant l'ignorance perçue de Vance des contributions militaires récentes de leur pays.

De toute évidence, ce ne sera pas la dernière fois que Vance réprimande nos alliés, ou d'ailleurs, Trump intimide nos alliés et chante les louanges de la Russie. Il y a de fortes chances que les choses ne feront qu'empirer. Il est difficile de croire que le président et le vice-président des États-Unis d'Amérique sont en concurrence pour être les hommes les plus détestés du monde.

Les États-Unis se tiennent à un précipice. Notre statut mondial diminue quotidiennement, et nos alliances s'effilochés rapidement et seront probablement rompues si Trump et Vance continuent leur comportement.

Dans son discours hier, Carney a résumé Ce que le monde pense de Trump et des États-Unis «nous pouvons nous donner bien plus, bien plus que Donald Trump ne puisse jamais enlever, mais cela – cela prendra des efforts extraordinaires. Ce ne sera pas comme d'habitude. Nous devrons faire des choses que nous n'avons jamais imaginées auparavant, à des vitesses que nous n'avons pas pensé possibles. Nous le ferons. Nous le ferons pour le bien commun, afin que tout le monde, tout le monde en profite. »

Tout le monde, c'est-à-dire, à l'exception des États-Unis.